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Aussi surprenant que cela puisse paraître, les humains ne sont pas les seules victimes du stress; les végétaux le sont également. Les changements de température, ou encore une trop forte luminosité, peuvent engendrer un déficit hydrique qui à son tour est source de pression pour les plantes. Comment les plantes parviennent-elles à se protéger du stress ? Une équipe de scientifiques de l'université du Pays Basque (Nord de l'Espagne) étudie actuellement les substances qui s'activent dans les plantes pour leur protection. L'équipe de recherche souhaite déterminer les espèces qui, dans des conditions environnementales difficiles, peuvent aider à la reforestation.
Il va sans dire que les hommes sont les premiers à nuire aux plantes. La déforestation et les incendies ont ravagé quelques-unes des plus belles régions forestières. Mais Mère Nature ne ménage pas les végétaux : températures extrêmes, précipitations faibles ou catastrophes naturelles, les plantes ne sont pas épargnées.
Le printemps est la meilleure saison pour les végétaux en raison des «conditions optimales», lorsque l'humidité ambiante est supportable et les températures sont normales. Viennent l'été, puis l'hiver, et les plantes doivent se contenter de sécheresses et de températures extrêmes. Tous ces facteurs déclenchent des périodes de stress intense pour les végétaux. Il est particulièrement difficile pour les plantes de faire face à la luminosité importante de l'été et l'hiver, étant donné qu'elles ne peuvent pas l'absorber entièrement. C'est ce que les scientifiques appellent le «stress photo-oxydatif».
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LENA
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