Canis Lupus (loup) est l’une des espèces en voie de disparition dans le monde entier. Au Canada, les loups ne sont pas protégés en dehors des parcs nationaux. Les études nous ont prouvé que ces secteurs de région sauvage ne sont pas assez vastes pour maintenir une population saine de loups, et sont trop restreints pour conserver effectivement la biodiversité (ressources naturelles Canada, 2007).
Les Rocheuses centrales représentent une région écologique unique du Canada, et les loups gris (lupus de C.) ont ici des sous-populations géographiquement distinctes, différentes des loups de la Colombie-Britannique côtières et des loups "rouge" (C. rufus) de l'Est du Canada. Le corridor des montagnes Rocheuses centrales, du Parc national Jasper (Alberta) au Glacier National Park (Montana), est essentiel dans le maintien d'un flux de gènes sains dans les populations de loups entre le Canada et les États-Unis.
Nous espérons que la formation d'une coalition de défenseurs du loup nous aidera à atteindre l'objectif de protéger le corridor. Nous devons adopter des lois pour perpétuer les populations là où elles se produisent, comme recommandé par l'Union internationale pour la conservation de la nature et des ressources naturelles (UICN) des lignes directrices sur la conservation du loup, (Hummel & Pettigrew, 1991). NLW fait appel au ministre de l'Environnement fédéral John Baird pour créer des zones tampons pour protéger les loups dans les 7 parcs nationaux des Montagnes Rocheuses Centrale du Canada.
Dans les dernières décennies, l'activité humaine s’est intensifiée dans les deux parcs et juste à l'extérieur de ces zones protégées. Les pressions des activités industrielles, commerciales, et récréationnelles compromettent l'intégrité écologique de ces secteurs de région sauvage, (CPAWS, 2007). Pour cette raison, le manifeste d'IUCN sur la conservation du loup déclare que l'importance et le statut des loups devraient être pris en considération par la législation et dans la planification pour le futur de toutes les régions, (Hummel et Pettigrew, 1991).
Un large outil législatif régissant les zones tampons nous permettrait de bien gérer l'utilisation des terres des zones adjacentes aux terres protégées. L’incompatibilité de l’utilisation des terres a été classée comme la plus grave menace pour les parcs et les zones protégées par la plupart des administrations des Parcs dans l'ensemble du Canada, (Environnement Canada, 2006). Un Congrès mondial sur le loup tenu en 2003 a convenu que la coopération entre voisins est la compétence nécessaires pour assurer la survie des loups dans le centre des Rocheuses, (Alberta Wildlife Enhancement Society, 2003).
La zone tampon serait de 200 km, et aurait pour effet :
1. l’interdiction de la chasse, le piégeage ou la chasse aux loups annuels
2. de restreindre l'utilisation de véhicules récréatifs motorisés (le parc national Banff [BNP] a déjà demandé à la province d’Alberta de limiter l'accès aux véhicules motorisés qui entourent le parc, (Syme, 2003);
3. de limiter l'utilisation de développement des terres non-commerciale et non-extraction des ressources.
Les biologistes menant des recherches sur les loups dans les parcs du Canada ont identifié le lupus de C. en tant qu’espèces, capables de causer une cascade trophique quand les populations plongent au-dessous d'un seuil critique (Hurd, et autres 2002), (Hebblewhite, et autres 2005). Quand le nombre de loups gris diminue dans les Rocheuses centrales, un effet de cascade se produit et les petits mammifères, poissons, insectes, oiseaux, amphibies, ongulés, et la végétation en souffrent, (Hebblewhite observé, et autres 2005). Les prédateurs supérieurs, tels que les loups, sont essentiels en maintenant l'équilibre d'un écosystème sain.
Les biologistes reconnaissent que la plupart des habitats alpins et subalpins dans le parc fournissent des conditions optimales pour les loups d'établir des territoires, (Perspectives régionales sur les indicateurs écosystémiques et enjeux, 2002), (Kootenay Parc national du Canada, 2008) , (Parcs Canada, 2006), et (Defenders of Wildlife, 2006).
La meute de loups dans le parc national Kootenay (PNK) a besoin d'un territoire de près de 3ooo km2, seulement un quart de la vallée est idéale pour les proies, (Kootenay Parc national du Canada, 2008). Les loups en KNP voyage autant que 250 km à l'extérieur des limites du parc, (Kootenay Parc national du Canada, 2008).
Le Parc national de Yoho (YNP) a reconnu, que pour que les loups soient présents dans la région, le parc doit travailler avec les propriétaires des terres privées, les citoyens locaux et les récréationnistes, (Parcs Canada, 2006), essence, ce qui nécessitera la création de zones tampons .
La plupart des meutes se trouvaient en hiver dans des zones protégées aux altitudes inférieures dans des secteurs non-protégés où les élans sont, (coopération préconisée pour sauver loups, 2003)
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Bien que les loups exigent une base de proies adéquate, le facteur déterminant dans la persistance du loup est la protection de l'homme, (Perspectives régionales sur les indicateurs écosystémiques et questions. 2002). L'utilisation par l'homme et l'accès peut être directement liée au taux de mortalité des loups et les emplacements autour des parcs, (Perspectives régionales sur les indicateurs écosystémiques et enjeux, 2002). Lorsque l'abondance des proies est faible, l'utilisation par l'homme devient encore plus importante de porter atteinte à des loups. BNP a également reconnu que les chiffres de mortalité de loups reflètent le niveau de la mortalité d'origine, (Parcs Canada, 2004).
En 2002, la Central Rockies Wolf Project a indiqué que, sur 12 dossiers, 9 ont besoin de protection au-delà des parcs nationaux si l'intégrité écologique devait être maintenue sans être mis en place les loups d'autres régions, (Perspectives régionales sur les indicateurs écosystémiques et enjeux, 2002).
Par exemple, sur une période de 4 ans (hiver 1999 au printemps 2004), 13 loups adultes sont morts dans les limites du BNP, qui dépasse de beaucoup un taux durable de perte (parc national du Canada Banff, 2004).
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Les biologistes ont recommandé que la mortalité des loups causée par l’homme doit être réduite au minimum pour gérer le déclin des loups dans la région, (Dalman, 2002).
Les parcs nationaux ont déclaré que, pour avoir des loups dans le parc, nous devons maintenir en bonne santé les populations de loups et l'habitat accessible en dehors du parc, (Parcs Canada, 2004). Ce ne sera pas possible dans l'avenir si nous ne prenons pas des mesures dès maintenant.
Il a même été suggéré que la restauration de la population devrait être exigée (Dalman, 2002). Nous pouvons empêcher que cela ne soit nécessaire
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Nous souhaitons empêcher une cascade trophique dans nos parcs en augmentant les zones protégées des lupus de C., (Hurd, et autres 2002), et (Ellis, 2002).
Ces 7 parcs nationaux (Banff, Yoho, jaspe, Kootenay, bâti Revelstoke, glacier, Waterton) passent en revue actuellement leurs stratégies de gestion de parc, et acceptent l'entrée pour aider des révisions de plan de forme (bulletin du Canada de parcs, 2008). Ceci fournit une excellente occasion d'élargir des zones protégées pour les loups dont les territoires se prolongent au delà des frontières de ces parcs. Oeuvrons ensemble !
Le Canada a toujours une des populations de loup les plus saines au monde. Sur une base globale, ceci nous fournit une occasion unique et essentielle de conservation. Le Canada a une chance de faire quelque chose qu'aucun autre pays n'a fait : pour conserver délibérément les populations sauvages saines de différents types de loups sur un des derniers paysages encore capables de soutenir un tel but de conservation, (Hummel et Pettigrew, 1991). Si nous attendons trop longtemps nous continuerons à perdre la biodiversité.
Le tourisme sauvage peut signifier à long terme des avantages financiers pour notre pays. Par exemple, les loups réintroduits dans la région élargie du territoire bénéficie de l'économie des rocheuses du nord du Yellowstone aux États-Unis à hauteur de $ 35 millions de dollars des touristes par an (Defenders of Wildlife, 2006). En protégeant les grands carnivores et les écosystèmes intacts, nous pouvons attirer des millions de dollars du tourisme. Si nous ne sauvons pas les prédateurs, nous ne sauvons pas la vraie région sauvage. . Et si nous ne sauvons pas la région sauvage vraie, nous ne sauverons pas les prédateurs supérieurs (Pettigrew, 1991).
Le Fonds mondial pour la nature, nous dit que l'histoire a montré que, si des efforts délibérés ne sont pas faits pour conserver les grands carnivores, ils sont condamnés, (Hummel & Pettigrew, 1991).
Demandez-vous en tant que Canadiens : Qu'est-ce que le reste du monde nous a enseigné au sujet du destin des loups ? Prenons-nous des mesures pour nous assurer que la même chose n'arrive pas à nos prédateurs supérieurs ?
Nous vous invitons à faire de ceci une priorité de conservation au Canada. Nous recherchons des organisations pour se joindre à nous dans une large coalition de nation-loup pour assurer un avenir pour les loups au Canada. Vous pouvez nous aider en:
Diffusant et signant nos pétitions et envoyant des modèles de lettres adressées à des représentants politiques, ou la création de votre propre lettre.
Rejoignant la Coalition canadienne pour les loups pour combiner des idées, des ressources, des bases de données, la recherche, les connaissances et les contacts. De notre site Web: www.northernlightswildlife.com
POINTS CLÉS :
La population de loup dans beaucoup de régions du Canada, comme les montagnes rocheuses centrales, est l'une des plus faibles densités de loups au monde, mais le Canada a censément une des plus hautes populations laissée dans le monde
Nos zones protégées ne sont pas assez grandes pour maintenir une population saine des loups
Le territoire des meutes de loup vivant en parcs nationaux se prolonge souvent dans des zones protégées EXTÉRIEURES
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La mortalité causée par les humains est la plus grande menace pour la santé à long terme des populations de loup
Martin Luther King précise qu'en restant silencieux, nous permettons à d'autres de régner. Hurlons jusqu'à ce que la lune descende, jusqu'à ce que nous soyons entendus !
L'information de fond peut être trouvée sur : www.northernlightswildlife.com/bufferzones
RESSOURCES :
1. Hummel, M. & Pettigrew, S.1991. Wild Hunters Predators In Peril. Key Porter Books Ltd.
2. Hurd, T. White, C., Pengelly, I., & Pacas, C. 2002. Humans, Wolves, Elk, Aspen and Willow (HWEAW) Research Overview. From Proceedings of Humans, Wolves, Elk, Aspen and Willow, and Now Beetles (HWEAW B) Science Workshop, Session 1: The Current Situation in the Banff Bow Valley. Banff, Alberta.
3. Hebblewhite, M., Nietvelt, C., White, C., McKenzie, J. & Hurd, T. 2002. Wolves As A Keystone Species in Montane Ecosystems of the Canadian Rocky Mountains. Proceedings of Humans, Wolves, Elk, Aspen and Willow, and Now Beetles (HWEAW B) Science Workshop, Session 2: Into The Future: Predation, Predation Risk, and Low Density Prey Populations. Banff, Alberta.
4. Regional Perspectives on Ecosystem Indicators and Issues. 2002. From Proceedings of Humans, Wolves, Elk, Aspen and Willow, and Now Beetles (HWEAW B) Science Workshop, Evening Session. Banff, Alberta.
5. Dalman, D., Shury, T., & White, C. 2002. Workshop Synthesis. From Proceedings of Humans, Wolves, Elk, Aspen and Willow, and Now Beetles (HWEAW B) Science Workshop. Banff, Alberta.
6.Ellis, C. 2002. Parks Canada Asks Alberta to Help Protect Wolves. Calgary Herald. Calgary, Alberta.
7.Syme, I. 2003. Chief Park Warden for Banff Field Unit, Parks Canada. Alberta Wildlife Enhancement Society. www.wildlife-enhancement.ca
8.Co-operation Called For To Save Wolves. 2003. Alberta Wildlife Enhancement Society. www.wildlife-enhancement.ca
9.Kootenay National Park of Canada, Natural Wonders and Cultural Treasures. 2008. Kootenay National Park Website. http://www.parcscanada.com/pn-np/bc/kootenay/natcul/natcul7_E.asp
10. Parks Canada Yoho National Park of Canada Natural Wonders Wolf Research and Management. 2006. www.pc.gc.ca.pn-np/bc/yoho/natcul20_E.asp
11. Parks Canada. 2004. Banff National Park of Canada. How Many Wolves are in Banff National Park? Banff Website
12. Defenders of Wildlife. 2006. Statistics. www.defenders.org
13. Canadian Parks and Wilderness Society (CPAWS) Northern Alberta. 2007 Parks Watch Report.
14. Environment Canada, 2006. Canadian Protected Areas Status Report 2000 %u2013 2005. Government of Canada, Gatineau, Quebec.
15. Natural Resources Canada, 2007.
16. Hebblewhite et al.2005. Human Activity Mediates a Trophic Cascade Caused By Wolves. Ecology 86
17. Banff National Park of Canada. 2004.HJD
18. Parks Canada Newsletter, Mount Revelstoke and Glacier National Parks of Canada, 2008.
Citations ref -http://www.bedfordstmartins.com/online/cite8.html
Merci de signer cette PETITION
Merci pour les loups des montagnes rocheuses centrales du Canada