Déclaration pour la protection des phoques à fourrure du cap d'Afrique australe

Sous la charte mondiale des Nations Unies pour la nature.

Nous les citoyens du monde, sommes autorisés et légalement habilités à demander aux gouvernements d'Afrique du Sud, de la Namibie et de l'Angola d'accepter leurs obligations pour favoriser et protéger les phoques à fourrure du cap. Espèces d'une faune de mammifère marin, qui en vertu du droit international commun est défini comme le nullius de rus, appartenant à personne, et qui est trouvé nulle part ailleurs sur terre.

Cette pétition de déclaration cherche à combiner toutes les différentes pétitions existantes séparées, qui collectivement ont reçu l'appui de plus de 42 000 citoyens dans plus de 80 pays autour du monde.

Pour reconnaître qu'un mammifère marin n'est pas un poisson, et que la pêche professionnelle n'est pas un droit légal, s'il met en danger l'écosystème marin en partie ou la survie entière ou l'une des d'espèces dedans ou est conduit d'une façon insoutenable ou diminue les populations courantes au-dessous de leur niveau de population de reproduction.

Nous exigeons de ces gouvernements de prendre les mesures suivantes pour assurer la survie de ces espèces, qui sont des espèces mises en danger par l'annexe II des Nations Unies - convention dans le commerce des espèces en voie de disparition (CITE) en 1977 :

- Comme c'est un des plus grand prédateur marin de ces régions, inclure la consommation nécessaire pour la survie des phoques dans la pêche commercialement soutenable pratique, des évaluations et des quotes-parts de biomasse, comme première priorité.
Spécifiquement, ce pas maintenant ou à l'avenir de leur consommation normale de poissons nécessaires pour leur survie ne soit jamais un facteur utilisé contre leur protection continue.

- Cesser toutes les interférences dans les activités de forage des phoques, le mouvement migrateur, le comportement d'élevage et les habitats endémiques d'élevage.
Spécifiquement, en présentant la législation pour protéger les îles spécifiques des phoques, en expliquant que moins de 20 pour cent de leur ancien habitat par région terrestre d'île et en la mer environnante dans un rayon de 200km autour de chaque habitat d'élevage de phoques comme sanctuaire marin avec une politique de non pèche et de non-entrée de bateau de pêche.

- Déclarer leur population enregistrée par les enquètes de recensement aériennes de 2000 comme mesure sur laquelle toutes les futures évaluations de conservation seront basées.
Reconnaître spécifiquement que l'espèce récupère encore de la sur-exploitation et de l'extinction proche provoquées par des siècles passés d'activité humaine.

- Cesser chaque et tous les massacres de bébés-phoques, péche, matraquage de phoques ou toute forme de controle de population de ces espèces vivants dans un écosystème marin ouvert.
Spécifiquement, en finir le massacre annuel des bébés phoques et des otaries en Namibie et toutes formes d'abattage des phoques à partir d'habitat d'élevage ou toutes formes de tir de phoque en mer, sur la terre pour sauvegarder d'autres espèces ou pour le sport ou pour les trophées de chasse.

- Supprimer toutes formes d'instruments ou de matériaux des pratiques en matière de pêche professionnelle qui sont nocives à l'écosystème marin ou à chaque phoque individuel.
Spécifiquement, interdire tous les instruments utilisés pour tuer ou toucher ou effrayer des phoques incluant des explosifs, des clubs, des couteaux ou des armes à feu. Empêcher toutes les formes de matière non-biodégradable employées dans l'industrie de la pêche, qui cause la mutilation des phoques, l'enchevêtrement ou la noyade.

- Arrêter toutes les captures d'animaux vivants ou les exportations des phoques pour des buts d'amusement ou de recherches.
Spécifiquement les phoques sont capturés pour des aquariums ou des zoos autour du monde.

- Favoriser l'éco-tourisme d'une manière responsable ne se mêlant pas ou ne touchant pas au comportement normal de ces espèces.
Spécifiquement à la quantité que les phoques apportent en valeur à l'industrie, le revenu qu'ils produisent, le nombre de visiteurs et la création de travaux dans une utilisation non-consommatrice de cette ressource.

- Cesser toutes les enquêtes de population qui impliquent la capture, l'étiquetage, le déplacement, l'inscription artificielle qui causent des perturbations à la colonie de phoques.
Spécifiquement en vue de capturer toujours des bébés phoques dépendants et a la charge de leur mère en attachant des étiquettes en plastique ou en acier à leurs nageoires.

- Documenter et enregistrer tout les phoques morts et garder une base de données publique accessible.
Spécifiquement, n'importe quelle évidence d'activité illégale doit être entièrement étudiée et punie, par des pénalités mises en application.

Sous la charte mondiale des Nations Unies pour la nature, confirmer, imposer ou mettre en application quelques unes ou toutes les déclarations écrites ci-dessus pour la protection des phoques a fourrure du cap, nous autoriserait, les citoyens du monde à prendre quelque processus, méthodes, activités ou procédures légales, ou actives pour assurer que les phoques aient une protection continue.

En signant cette pétition j'autorise Francois Hugo et chacun des organismes à mettre en application que les activités légales soient considérées nécessaires pour protéger les phoques a fourrure du cap en Afrique australe.

Nous vous demandons humblement et désespérément à tous de signer cette pétition et de la diffuser.

Pour les phoques,

Francois Hugo Seal Alert-SA and Seal-Man,

Sincèrement

PETITION

Merci pour les phoques