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Les delphinariums sont créés pour l'argent qu'ils rapportent, au détriment du bien-être animal, non pour préserver les dauphins, les orques ou encore les requins. Conditionnés, dénaturés, malades, ces animaux captifs ne peuvent même plus faire l'objet de recherches scientifiques.
En suivant les exemples du Royaume-Uni et du Brésil, la construction de nouveaux delphinariums doit cesser en Europe. Ils doivent être réinsérés dans la mesure du possible, dans leur milieu naturel.
Nous nous devons de les découvrir à leurs conditions et non plus aux nôtres. La capture des dauphins, espèces protégées, est déjà interdite en France, mais il est par contre légal de leur y construire des prisons !
Nous exigeons en priorité absolue l'interdiction légale et définitive de tous les delphinariums en Europe, puis dans le reste du monde, pour les raisons suivantes :
Ni au niveau sanitaire (durée de vie raccourcie, maladies de peau, sensibilité au chlore, mauvais entretien des bassins etc…) ; Ni au niveau des conditions d'accueil (environnement volontairement appauvri pour permettre les shows, vie sociale aberrante ou gravement carencée), les delphinariums ne sont à même de garantir une vie décente à ces mammifères marins hautement intelligents et socialisés dont le corps est spécialement adapté à plonger à des grandes profondeurs et à nager sur des grandes distances.
Le fait de détenir de tels êtres dans de telles conditions va donc directement à l'encontre des prescriptions de la Loi du 14 août 1986, modifiée par les lois du 26 mars 1993 et du 4 mai 1995, relative à la protection et au bien-être des animaux et dont l'article 4 contient des dispositions importantes :
"Toute personne qui détient un animal,..., doit prendre les mesures nécessaires afin de procurer à l'animal une alimentation, des soins et un logement qui conviennent à sa nature, à ses besoins physiologiques et éthologiques, à son état de santé et à son degré de développement, d'adaptation ou de domestication. "
Nous exigeons enfin que soit modifier les règlements de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction) et que l'ensemble des cétacés bénéficient de la protection de l'annexe I, de la CITES, qui interdit tout commerce de l'animal, même pour des raisons « scientifiques ou pédagogiques ».
L'Europe est considérée comme un référent en termes de culture, d'humanisme et de démocratie.
A l'heure de l'effet de serre et de la destruction de la biodiversité, il est grand temps que les pays membres de l'Union Européens donnent l'exemple en matière de protection animale et fasse comprendre que les delphinariums ne sont ni des institutions scientifiques ni des "arches pour espèces en voie de disparition" mais simplement des établissements lucratifs de loisirs cruels et inutiles qu'il importe de faire disparaître au plus vite.
PETITION
(ATTENTION : N'oubliez pas de valider votre signature dans le mail de confirmation reçu)
Merci pour les animaux marins prisonniers
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LENA
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