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La sécurité publique est une responsabilité importante du gouvernement local, de même que l'utilisation judicieuse de la force. À Halifax, Nouvelle-Écosse, les autorités de contrôle des animaux emploient habituellement l'euthanasie préventive, une inutile et préjudiciable perte de vie.
Brindi, une chienne croisée agée de 5 ans, n'a jamais mordu une personne ou grièvement blessé un autre chien. Elle est sympathique et calme avec les gens et aime la grande majorité des chiens qu'elle rencontre. Trouvée abandonnée avec 5 chiots, elle a attendu 2 ans dans un refuge avant que sa maitresse Francesca Rogier l'adopte en 2007. Mme Rogier l'a pucé, stérilisé et vacciné. Brindi connait trés bien l'obéissance et obéit à de nombreux ordres. Elle adore sa propriétaire et reste en douceur et en toute sécurité autour de nourrissons, d'enfants et d'adultes. Elle vit en paix, même avec 2 chats.
Brindi a été chargé d'un total de trois infractions mineures. Elles se sont produites quand elle a accidentellement été perdue, et s'est heurtée à des chiens qui marchaient le long de la route, à sa propriété. Seulement la deuxième infraction a entraîné un dommage, un petit trou de dent nécessitant un minimum de soins vétérinaires, pour lesquels Mme Rogier a volontairement payé. Après cela, la ville a publié l'ordre qu'elle porte une muselière. À Halifax par la loi A300, une muselière est une des 6 obligation pour considérer un chien dangereux. Les autorités interprétent cela comme une sanction pour la saisie et l'euthanasie pour toute nouvelle violation. Ainsi, parce qu'elle ne portait pas sa muselière sur la troisième infraction, ils l'ont saisi sans avertissement quatre jours plus tard, même si l'autre chien n'a pas été saisi ou blessé.
Brindi reste à la fourrière de la SPCA de la ville. Sa propriétaire n'a pas l'autorisation de lui rendre visite.
Cette couverture d'imposition de la peine maximale pour des infractions mineures est injuste. Halifax a déjà reconnu que Brindi n'est pas une menace pour l'homme. Deux formateurs respectés ont informé que son comportement ne signifie pas l'agression et peut certainement être corrigé. Pourtant, la ville préfère avoir à payer le prix ultime pour l'erreur humaine, plutôt que d'accepter des solutions de rechange raisonnables qui maintiendraient a la fois la sécurité et Brindi vivante.
Il est clair que Brindi ne mérite pas de mourir. En outre, elle contribue considérablement à la santé et le bien-être de sa propriétaire, Mme Rogier, un peu comme un chien permet à l'aveugle de voir. Mme Rogier est désespérée que sa précieuse chienne revienne. Elle a déjà construit des enclos clôturé jusqu'a l'entrée de son domicile, engageant un formateur privé et a offert de payer toutes les amendes et les coûts.
Nous nous opposons fermement à l'euthanasie de Brindi. Nous lançons un appel à HRM animal Service et au Conseil municipal d'accepter l'offre raisonnable et responsable de Mme Rogier pour que Brindi puisse rentrer chez elle immédiatement.
Voici la lettre que vous enverrez en signant cette pétition :
Brindi n'a jamais causé de graves blessures ou des dommages à aucun humain ni animal.
Afin d'éviter une longue bataille juridique, cette pétition pour son retour est parrainée par la propriétaire dévastée de Brindi, Francesca Rogier, qui est prête à assumer l'entière responsabilité de la perte de Brindi. Elle a déjà clôturé sur une longueur de 65 pieds jusqu'à sa porte arrière et une seconde cloture joignant jusqu'à sa bretelle d'accès.
Merci de votre aide pour sauver la vie de Brindi !
Signez cette pétition
Merci pour Brindi
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LENA
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