La réponse du Canada face au tollé du monde contre les crimes affreux commis sur les bébés phoques est comme suit :
Le premier ministre du Canada a demandé Jeudi au président de la Commission Européenne de ne pas interdire l'importation des peaux de phoque du Canada, arguant du fait que la pression publique pour une interdiction est basée sur les informations fausses des activistes.
Le premier ministre Stephen Harper a dit à Jose Manuel Barroso, Président de la Commission Européenne, selon un rapport, « qu'il est impératif que les pays membres de l'Union Européenne considèrent soigneusement leurs prochaines étapes en ce qui concerne les mesures qui limiteraient ou exclueraient la vente des produits de phoque dans leurs frontières. »
Les deux chefs se sont réunis dans les coulisses d'un sommet du G8 au Japon.
Stephen Harper a dit que la chasse au Canada est « humaine, soutenable et réglementée, » et « que la pression publique supplémentaire dans l'Union Européenne pour limiter la vente des produits de phoques est basée sur l'information fausse des opposants à la chasse et des groupes extrémistes. »
Chaque année, les activistes opposants à la chasse s'affrontent avec des chasseurs de phoques et des fonctionnaires de la pêche canadiens sur la côte atlantique du Canada, dénonçant la cruauté de cette chasse.
Les protestataires ont réclamé une halte complète à l'importation de fourrures, mais les règles de l'organisation mondiale du commerce rendraient une telle étape impossible, selon une source européenne.
On s'attend à ce que la commission prenne la décision d'interdire l'importation des fourrures faites à partir des peaux de jeunes phoques chassés au Canada, quand elle se réunira le 23 juillet.
Il importera alors aux 27 pays membres de l'UE d'approuver ou de rejeter cette mesure.
Mais Harper a prévenu : Le « Canada ne se tiendra pas prêt et n'acceptera pas les mesures qui bravent les pratiques internationales admises pour le commerce durable et minent le commerce des produits de phoque récoltés selon des normes internationales. »
un membre du parlement canadien a été cité : “nous brûlerons les fourrures, si nous y sommes forcés” c'était en réponse à la chutte des ventes.
PETITION
Merci pour les phoques
NON, PLUS D'ARGENT POUR SOUTENIR LES CRIMES ABOMINABLES DU CANADA
CONTRE CES MAMMIFÈRES !